Les survivants. aviation.cannibalisme. lw60

Les survivants. aviation.cannibalisme. lw60 relié cartonné jaquette un peu abimée , photos , cartes , 350 pages , france loisirs 1974.
bon état général

Le 13 octobre 1972, il la suite d'une erreur de pilotage, l'avion qui transportait une équipe uruguayenne de joueurs de rugby. leurs amis et leurs parents,s' écrasa dans les Andes. Il y avait quarante-cinq personnes à bord. Vingt-sept d'entre elles survécurent à l'accident. Ils ne savaient pas où ils se trouvaient, n'avaient aucune provision, aucun moyen de signaler leur position. Les recherches conduites par l'Uruguay, le Chili et l'Argentine furent inutiles. Pour subsister, les survivants entreprirent de manger leurs morts. Certains ne purent s'y résoudre aussitôt, mais bientôt, un à un. il leur fallut céder. Un second malheur, le 29 octobre, les frappa. Une avalanche submergea les débris de l'avion où ils dormaient et huit d'entre eux moururent ce jour-là. Trois autres devaient succomber aux suites de leurs blessures, il n'y avait dans l'avion ni médicaments ni instruments ni chirurgien qualifié. Les parents,. ou du moins ceux d'entre eux qui ne croyaient pas à la mort de leurs enfants et que soulevait une foi indomptable, explorèrent les Andes pied à pied autour des lieux où ils supposaient que l'avion était tombé. Les recherches privées échouèrent comme avaient échoué les recherches officielles. Il fallut que les survivants constituent un corps expéditionnaire comprenant les trois, puis les deux des plus vaillants d'entre eux, pour escalader une des plus hautes montagnes des Andes, à 4600 mètres d'altitude asec les moyens qui défient la vraisemblance et la raison - et pour arriver enfin dans une haute vallée chilienne, au sillage de Los Maitenes. Il en restait quatorze autres sur la montagne, on alla les chercher en hélicoptère. On tint leur sauvetage, deux jours avant Noël, pour un miracle. Quand les journaux reselerent, le 26 décembre, qu'ils avaient dû manger leurs morts pour survivre. l'émotion fut énorme et même le scandale. L'Église catholique prit cependant fait et cause pour les rescapés.
fdp 7,20 en plus du pdv .

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